Je travaille comme étiopathe, je ne suis ni naturopathe ni diététicienne… j’ai étudié, lu, comparé, expérimenté surtout et je ne parle que de mes expériences.
L’alimentation est un vaste sujet, pleine de controverses, de modes et de régimes divers.
« Que ton aliment soit ton médicament » disait Hippocrate.
Seulement, voilà, nous avons reçu de nos parents, dès notre plus jeune âge et transmise par les générations précédentes, des principes, des croyances, des habitudes, qui ne sont peut-être plus adaptés à notre vie d’aujourd’hui.
En 1984 dans les circonstances inattendues j’ai fait une rencontre surprenante avec une femme très originale. Elle m’a donné la référence d’un livre « Les combinaisons alimentaires » de Shelton… le premier livre de ce genre, que j’ai ensuite étudié avec beaucoup d’attention. Ainsi a débuté mon « aventure bio végétal » et elle continue toujours.
Commencer à modifier son alimentation, c’est s’occuper de soi-même, s’accorder du temps pour une démarche globale vers le bien-être, la santé et l’autonomie.
Pour que cette aventure vers une meilleure connaissance de soi reste toujours une source d’énergie et de vie, n’oublions pas le plaisir ! Tout aliment, même le plus sain, consommé dans le stress, la mauvaise humeur et les soucis pourrait devenir un poison pour le corps. A l’inverse, un repas copieux et légèrement arrosé mais partagé dans la convivialité avec ceux qu’on aime pourra nous faire le plus grand bien.
Personnellement, je ne suis d’accord avec aucun régime… A part, peut-être celui de Watwatcher car il permet de manger de tout.
Le matin, c’est le moment des protéines animales : beurre, charcuterie, poissons etc... ;
Le midi - une crudité, une protéine et un légume ;
Le soir - des céréales avec des légumes ou un poisson.
Pour les fruits je les consomme en dehors des repas et je bois 1 litre d’eau par jour. Mon corps est un « véhicule » et j’aime bien l’entretenir pour me sentir bien et avoir de l’énergie.
Etant thérapeute, à mon tour je donne des conseils aux patients, car il y a de plus en plus de cas d’allergies et de « mal être » autour de nous.
Si nous le désirons, expérimentons divers régimes ou théories alimentaires, mais ne sombrons jamais dans le sectarisme.
Changer son alimentation ne doit pas être synonyme de casse-tête ou de culpabilité mais au contraire source de découvertes et de plaisirs nouveaux. »